S’alléger d’un comportement encombrant

Liberté intérieure

Au fond de nous, si nous avons un réel point commun, je dirais vraisemblablement le désir de se sentir bien. C’est-à-dire de ressentir la paix autant dans notre corps, dans notre cœur et dans notre esprit.
Mais souvent, nous vivons d’autres sentiments et d’autres sensations. Une souffrance s’installe et nous découvrons qu’en nous battant avec elle, la douleur perçue ne fait malheureusement qu’amplifier.

 

Alors comment trouver notre liberté intérieure ?
 
 

 

Tout d’abord, il est important de se rappeler que nous disposons comme les ordinateurs d’une mémoire vive et d’une mémoire cache (cachée).

 

Dans la psychanalyse, nous parlons de l’inconscient et du conscient.

 

Personnellement, j’aime bien parler de la partie invisible et visible de notre façon de penser. En parlant d’invisible, on prend en considération l’information intérieure et extérieure de notre corps.

 

 
 
Ensuite, il est intéressant de savoir que notre partie invisible est beaucoup plus importante que notre partie visible. Le biologiste Bruce Lipton, spécialiste du vivant et de la physique moderne, explique que selon lui l’inconscient serait de l’ordre de 95% de notre psychisme et donc notre partie consciente est de 5%.

 

Il explique aussi très bien que cette partie invisible fonctionne sous forme de programmes neuronaux que nous enregistrons principalement dans notre enfance.

 

 
 
Dans cette direction, il me semble déjà important d’observer les répétitions orchestrées par notre partie invisible afin de pouvoir mieux se diriger vers notre liberté intérieure.
Il se trouve que l’accompagnement des personnes vers le mieux-être permet de mieux percevoir les mécanismes répétés par notre dimension invisible.

 

 
 
L’hypnothérapie vise à rétablir l’équilibre intérieur et la pratique régulière de l’hypnose permet d’essayer de démasquer les fonctionnements automatisés de l’inconscient invisible. Cette observation quotidienne vise à déjouer et à se libérer des pièges du mental dans lesquels nous tombons un jour ou l’autre.
 

 

 
La technique de l’hypnothérapie a pour direction principale de libérer les peurs, les angoisses, les pensées toxiques répétitives, les croyances limitantes, les douleurs somatisées, les troubles obsessionnels… Pour faire plus simple : les répétitions désagréables orchestrées par le mental.
 

 

 
Pour tenter de trouver un chemin qui se dirige vers notre libération intérieure, il est important d’observer et de jongler avec les mécanismes cachés de notre dimension invisible. Pour l’instant je pense pressentir 23 mécanismes qui se reproduisent généralement dans cette dimension. Mais cet article doit rester court et je vais exposer quatre routines essentielles, afin d’essayer de montrer ce qui peut nous empêcher d’être bien avec nous-même.
 

 

 
Je parle de quatre points communs dans cette dimension invisible que l’on perçoit régulièrement chez l’autre. Les mécanismes de l’invisible sont difficiles à voir sur soi-même. Mais l’observation de la personne en quête de bien-être permet de mieux percevoir les répétitions de l’inconscient.
 

 

 
1-L’INVISIBLE N’A PAS LA NOTION DU TEMPS. Cette dimension inconsciente ne fait pas la différence entre une émotion enregistrée hier ou il y a très longtemps. Cela explique pourquoi nous revivons et réveillons régulièrement les émotions du passé.
 

 

 
2-L’INVISIBLE ENREGISTRE NOTRE VIE. Il imprime et mémorise intensément toutes nos émotions et toutes les sensations qui ont été vécues et ressenties dans notre passé. Il est important de préciser que ces empreintes peuvent être les meilleures, comme les plus douloureuses. Pour donner une image on pourrait dire que c’est un peu comme la boîte noire que l’on trouve dans les avions.
 

 

 
3-L’INVISIBLE AUTOMATISE LES TÂCHES. Il crée des schémas de pensées automatisées et nous fait réagir de la même façon. Sa fonction première est d’imprimer des habitudes. Sans nous en rendre forcément compte, nous répétons des pensées et des gestes qui peuvent aller à l’encontre de notre bien-être. Une fois que nous avons enregistré une tâche, il est difficile de la désapprendre. Je prends souvent l’exemple du vélo. (Voir le livre de J.D. Nazio : l’inconscient c’est la répétition)
 

 

 
4-L’INVISIBLE AMPLIFIE LES PENSÉES. L’intensité des empreintes enregistrées est augmentée par la pensée. Plus la personne répète le schéma douloureux, plus la souffrance s’amplifie. Il est important de préciser que nos ruminations agissent avec beaucoup d’ampleur dans ce mécanisme.
 

 

 
Une fois que ces quatre mécanismes invisibles sont perçus, il est plus facile de comprendre comment nous pouvons nous faire piéger par nos répétitions cachées dans nos différentes mémoires.
 

 

 
Si l’invisible n’a pas la notion de temps et s’il conserve les chocs émotionnels très présents dans notre mémoire vive, nous comprenons alors que chaque jour, au travers de nos expériences, nous réveillons et faisons vibrer les mêmes émotions et sensations enregistrées. Même celles qui sont imprimées depuis très longtemps, dans notre vie et dans celle de notre famille. (On parle aujourd’hui grâce à l’épigénétique de nos blessures transgénérationnelles).
(A lire : Aïe, mes aïeux de Anne Ancelin Schützenberger)
 

 

 
Pour renforcer ce point de vue, il faut savoir que la physique quantique nous prouve scientifiquement aujourd’hui que le temps est effectivement une illusion créée par notre cerveau et que tout est relié, même nos pensées et nos émotions. Cette observation que l’on nomme : intrication quantique à été validée en 2012 au CERN.
Aussi la physique quantique nous explique que contrairement à ce que l’on pourrait croire ou voir, le vide qui est invisible par définition est chargé d’une infinité d’informations.
 

 

 
Mais ne nous écartons pas trop du sujet. Créer notre liberté intérieure est possible, de nombreuses personnes ont réussi à trouver le chemin pour vivre cette résilience sincère avec eux-même. Mais il est nécessaire de prendre conscience qu’un travail intérieur est à faire.
 

 

 
Comprendre que tous les jours nous revisitons et nous ré-ouvrons nos blessures du passé sans le savoir est déjà une source de compréhension. Accepter de voir que les mécanismes de notre psychisme peuvent nous piéger dans des ruminations toxiques est aussi important à prendre conscience pour mieux s’en libérer.
Découvrir qu’en ruminant des pensées toxiques sur nos souffrances passées ne fait qu’amplifier nos douleurs psychiques et physiques est aussi une prise de conscience nécessaire.
 

 

 
Tout cela nous explique pourquoi nous pouvons ressentir de la lassitude ou de l’enfermement dans la répétition de nos pensées.
Nous n’avons malheureusement pas appris à l’école, l’art d’échapper à l’automatisation de nos pensées, (émotions négatives, peurs, doutes, troubles…etc…)
Nous subissons alors, ce que je qualifie d’un harcèlement intérieur par nos pensées quotidiennes. Cette souffrance est incompréhensible puis-qu’invisible. Mais la surface visible de l’iceberg est généralement perceptible par la souffrance qui s’automatise.
 

 

 
Notre incapacité à gérer nos pensées nous amène à ressentir une lutte dans notre esprit et dans notre corps. La plupart des personnes se font inconsciemment piéger par un combat intérieur qui se met silencieusement en place. La personne souffrante amplifie chaque jour une guerre cachée entre les multiples parties de son psychisme.
Notre partie visible peut percevoir que notre partie invisible a mémorisé les empreintes de notre passé et que notre souffrance en découle.
 
 

 

Mais la réelle douleur vient souvent de la peur de ne plus pouvoir contrôler les ruminations et les émotions toxiques et de découvrir que la répétition des pensées ne fait qu’amplifier la souffrance. Un cercle vicieux se joue à l’intérieur de nos pensées, de nos ruminations, mais aussi dans nos ressentis corporels.
 

 

 
Mais comment ressentir la paix si nous sommes en guerre avec notre façon de penser ?
 
 

 

Le neurologue Alain Prochiantz explique : « Ce n’est pas le cerveau qui génère la pensée, mais c’est bien la pensée qui génère le cerveau. »
Nous devons apprendre à orienter nos pensées dans la direction que l’on aime. Facile à dire et visiblement pas facile à faire.
Pour créer notre vraie résilience, nous devons commencer par comprendre les ombres de notre passé. Il est important d’accepter de voir les événements du passé que nous cachons pour ne pas souffrir. Ensuite il est nécessaire de prendre conscience des événements passés que nous n’avons toujours pas acceptés dans le présent. Un soutien psychologique semble intéressant pour créer cet accompagnement et cette démarche intérieure. Faire ce travail seul est souvent trop douloureux. De l’aide extérieure permet de bénéficier d’une assistance psychologique qui nous permet de mieux voir ce que l’on porte en silence et ainsi de poser des mots sur nos maux. Parler de l’information invisible, c’est déjà commencer à évacuer cette énergie émotionnelle qui est suffisamment restée bloquée.
 

 

 
On découvre souvent qu’une partie du travail psychologique se fait à partir du moment où nous savons consciemment ce que nous devons évacuer. Mais souvent une autre partie du travail reste à entreprendre : le fameux : lâcher prise. C’est dans l’apprentissage qui consiste à libérer nos blessures émotionnelles que nous pouvons commencer à accueillir un mieux-être et se diriger vers notre liberté intérieure.
 
 

 

Si les mécanismes de cette partie invisible existent, il est maintenant important d’essayer de déceler les répétitions de notre partie visible ou consciente de notre psychisme.
 
 

 

De mon angle de vue, je dirais que la partie consciente a trois grandes fonctions. Elle aime contrôler, contrôler et contrôler (lol) et en plus elle adore avoir raison de tout.
Ce mécanisme de contrôle est souvent tellement visible, qu’il est souvent caricatural tellement ce désir est prononcé. Mais il est impossible de juger ce contrôle, car une personne blessée est obligée de développer un système de protection. Cette sécurité vise à tout contrôler pour ne pas être blessée une nouvelle fois.
C’est dans cette direction que nous pouvons voir l’attachement à la peur et à la souffrance qui est selon mon angle de vue, beaucoup orchestré par une partie égocentrée de nous-même.
 
 

 

Je pense que la partie invisible ne demande qu’à lâcher prise avec le passé. En hypnose on découvre que cette dimension inconsciente agit comme un enfant, elle obéit généralement à l’ordre demandé. En simplifiant, si l’on demandait simplement à cette dimension invisible de bien vouloir sincèrement lâcher prise avec la souffrance, le travail se ferait plus vite.

 

 
 
Le problème vient plutôt de notre ego qui en plus de vouloir contrôler l’invisible, désire aussi contrôler nos souffrances, notre bien-être, nos peurs, nos troubles… L’ego voudrait tout diriger… (Lire : Nouvelle Terre de E. Tolle)
 

 

 
Comme tout le monde, nous avons éprouvé dans le passé de la douleur qui n’a pas été acceptée.
 

 

 
La partie égocentrée de notre psychisme est restée bloquée avec ses souffrances personnelles. Elle ne souhaite généralement par lâcher les empreintes négatives du passé. Je dis souvent « nos vieilles rancœurs restent bloquées dans notre cœur ».
 

 

 
Notre ego ne veut généralement pas se libérer du mal enregistré car il a inconsciemment associé sa souffrance comme faisant partie intégrante de son identité.
Sans nous en rendre compte, notre ego a besoin de nos douleurs passées pour exister. Il agit en créant une fausse représentation de nous-même, un faux Moi qui s’attache inconsciemment aux ressentiments du passé. Autrement dit de nombreuses personnes s’identifient aux émotions douloureuses qui n’ont pas été évacuées par l’ego. (Ce qui souvent peut-être la cause de nombreux troubles.)
 

 

 
Comment lâcher nos colères, si nous ne les avons pas acceptées ?
 

 

 
Pour moi, notre mal-être provient plutôt de notre partie égocentrée qui a besoin de créer la guerre avec notre partie invisible pour exister. L’ego utilise toutes les stratégies. Il ne souhaite pas se dissoudre, au contraire il veut perdurer. Le combat intérieur est pour notre ego une excellente technique de survie.
 

 

 
Au fond de nous, nous savons plus ou moins que nos peurs sont des résidus de nos empreintes négatives enregistrées dans notre passé. Il est donc évident que notre ego dispose d’une proie facilement accessible, la lutte avec notre mémoire invisible. Nous avons ce pouvoir. Nous pouvons déclarer la guerre à tout le monde et visiblement même à nous-même. C’est dans cette observation que nous pouvons comprendre pourquoi nous avons du mal à nous sentir réellement en paix.
 

 

 
Mais pourquoi entretenir notre combat intérieur si nous souhaitons le contraire.
 

 

 
J’ai vraiment l’impression que notre partie égocentrée crée volontairement de la résistance pour ne pas créer notre résilience intérieure.
 
 

 

Notre partie consciente a selon mon observation, besoin des colères du passé pour maintenir son identité profonde. Histoire de ne pas perdre la face ou sa personnalité.
Cette partie visible de notre façon de penser se définit souvent dans la non acceptation de notre histoire de vie. Elle réactive les blessures au travers de nos ruminations, car elle a besoin du combat pour exister en nous.
 
 

 

Pour vérifier si nous ne sommes pas piégés avec l’attachement à nos souffrances passées, nous pouvons nous poser ce genre de question :
Au fait qui suis-je, sans mes blessures ?
Est ce que j’accepte de lâcher totalement mes vieilles colères ?
Est ce que je ne ressens plus de rancœurs envers les personnes qui m’ont blessées ?
Qui suis-je sans mes peurs ?
Qu’elle va être ma nouvelle identité, une fois libre ?
Voilà le genre de questions intéressantes à se poser pour écouter la réponse de notre ego. Est-il véritablement prêt à lâcher le contrôle et à accepter le détachement du mal enregistré ?
 
 

 

D’après moi, l’ego à tout intérêt à attiser le combat intérieur pour maintenir sa survie. Nous créons inconsciemment la guerre avec notre inconscient et nous le rendons responsable de notre souffrance psychologique et physique.
Intuitivement nous savons que notre dimension invisible détient les traces et les mémoires plus ou moins cachées de notre histoire. Nous avons plus ou moins conscience que nos peurs sont orchestrées par cette partie intouchable de notre façon de penser.
 
 

 

L’ego utilise alors la stratégie du combat intérieur. Il a toujours besoin de trouver un fautif et un responsable extérieur pour ne pas être démasqué. Il est donc facile pour l’ego de se battre avec les mémoires invisibles de notre psychisme. La guerre est alors entretenue. L’ego utilise nos ruminations pour amplifier son existence et son pouvoir.
 
 
Selon moi, la partie invisible de notre psychisme joue naturellement son rôle. Elle nous protège simplement afin d’éviter de ressasser les mêmes ruminations toxiques toute la journée. Ce serait inacceptable et invivable…
 
 

 

En revanche, selon mon observation, notre ego utilise le combat avec notre partie invisible pour garder sa puissance. L’ego se nourrit ardemment des colères du passé pour maintenir son identité. Il refuse de lâcher et d’évoluer. L’égo agit comme un faux “moi” qui nous sépare de notre vraie nature. Il suffit de regarder un enfant, pour voir comment nous créons et expérimentons des complications mentales (jugements, culpabilités, rancœurs, ressentiments, haines…).
 
 

 

Pour avancer sur ce chemin de liberté intérieure, il y a donc un travail personnel à faire afin de rétablir le juste équilibre entre
• la partie invisible et la partie visible de notre psychisme
• le moi de mon enfance et le moi d’aujourd’hui
• mon corps, mon cœur, mes pensées et surtout l’orientation de mes ruminations
• mon féminin intérieur et mon masculin intérieur.
et pleins d’autres harmonies encore…
 
 

 

C’est en apprenant et en acceptant de lâcher prise avec notre combat intérieur que nous pouvons avancer vers la liberté intérieure.
Jusqu’à aujourd’hui nous avons vibré et revisité émotionnellement nos blessures du passé quotidiennement.
Nous devons apprendre à calmer notre ego afin de lui faire lâcher les ressentiments si nous souhaitons réellement avancer vers notre paix intérieure de notre vivant.
 
 

 

La libération vient en acceptant de voir le jeu de notre ego. Pour cela nous devons apprendre à lâcher et même à faire tomber une partie de notre système de contrôle.
 
 

 

La partie invisible de notre façon de penser vibre naturellement. Elle ne joue pas avec le désir de tout contrôler, tout maîtriser. Au contraire, je suis persuadé que contrairement à ce que notre ego nous fait croire, la partie invisible souhaite la paix.
 
 

 

Pour avancer vers la liberté intérieure, nous pouvons observer le jeu de notre ego et ensuite accepter de lâcher les rancœurs du passé. C’est en démasquant à la fois le jeu et le piège de notre ego, que nous pouvons accepter de transformer notre énergie.
Cela permet de se libérer de nos croyances limitantes, de nous respecter, de corriger notre façon de voir et de nous percevoir.
Ce chemin nous amène à nous réconcilier avant tout avec nous-même. En acceptant de nous aimer simplement, nous lâchons nos jugements intérieurs et extérieurs. Nous stoppons définitivement notre combat, qui n’a alors plus aucun sens. Nous arrêtons de nous définir comme étant la victime de notre passé. Nous transformons notre identité dans la légèreté, la pacification et la résilience.
 
 

 

Mais notre désir conscient de tout maîtriser nous empêche souvent de trouver notre liberté intérieure.
Est-ce que notre ego souhaite réellement évoluer et se libérer ? Est-il vraiment dans le désir de lâcher les colères enregistrées dans le passé ?
 
 

 

L’hypnose est une technique naturelle pour essayer de créer cette démarche intérieure, pour apprendre à lâcher prise et pour accueillir cette transformation par la libération des émotions bloquées. Cette démarche vise à recréer du lien entre notre partie invisible et notre partie consciente afin de percevoir de l’unité dans toutes les strates de nos perceptions. Elle essaye aussi à aider la personne à mieux orienter ses pensées dans la direction qu’elle désire.
 
Pour toucher le mieux-être et ressentir notre liberté intérieure nous devons déposer réellement quatre armes, afin de désamorcer totalement le combat. Quand l’ego a débranché sincèrement la colère, la peur, la rancœur et la non acceptation, alors un accès commence à s’ouvrir. Si la guerre n’est plus présente, un chemin de paix peut naturellement se rapprocher de nous. Nous pouvons commencer à retrouver notre insouciance qui est finalement la saveur de notre vraie nature. Notre liberté intérieure arrive sous forme d’un alignement perceptible surtout si l’on accepte d’ouvrir l’accès à la conscience.
 

 

 
Quand nous prenons conscience du rôle joué par notre ego.
Quand nous pouvons observer comment il agit, comment il se débat pour exister.
Lorsqu’on voit clairement sa capacité à créer une fausse représentation de nous-même.
Alors nous commençons à avancer vers le détachement de notre faux moi, pour nous diriger vers notre vraie nature.

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